Caricatures autochtones à travers le Canada

Moi je suis un gars qui n'est pas vraiment susceptible, je fais comme mes aînés, je le prendre avec humour. C'est pourquoi je vous partage ces quelques caricatures ainsi que leur nouvelle qui à secoué le Québec et le Canada 


Aujourd'hui le 18 septembre 2014
L'avenir de l'écosse entre les mains des écossés. Une aspiration chez les Autochtones du Canada aussi  

projet d'entente de principe d'ordre général avec les Innus de Mamuitun et de Nutashkuan



Quelques centaines de membres des Premières nations ont pris d’assaut la colline parlementaire vendredi, reprochant au gouvernement de Stephen Harper de leur avoir imposé avec son dernier budget des changements environnementaux sans les consulter.
Le ton monte au sein des communautés autochtones du pays depuis quelques semaines. Il y a un an, le premier ministre entamait l’année 2012 avec un sommet réunissant à Ottawa les chefs des Premières Nations, en leur promettant un renouveau des relations avec la Couronne. Onze mois plus tard, la scène était tout autre. Tour à tour, la douzaine de chefs régionaux qui se sont adressés à la foule amassée devant le Parlement a accusé Ottawa d’agir une fois de plus de façon unilatérale, en citant les nombreux changements aux règles environnementales du dernier projet de loi budgétaire. C-45 modifie notamment la Loi sur les eaux navigables en réduisant considérablement le nombre de cours d’eau protégés d’entrave à la navigation. Les communautés autochtones dénoncent en outre que la législation modifie la Loi sur les Indiens, en changeant le mode de consultation des communautés lorsque des terres de réserves sont vendues ou louées.


Devant les pressions exercées pour que le gouverneur général David Johnston soit présent lors de la réunion de travail de vendredi entre Stephen Harper et des leaders autochtones, le premier ministre s'est arrangé pour qu'il les reçoive, mais seulement une fois que les discussions politiques seront terminées.


Le 11 décembre 2013, la cheffe crie Theresa Spence de la réserve d'Attawapiskat dans le Nord de l'Ontario entreprend une grève de la faim dans un tipi implanté sur l'île Victoria (Rivière des Outaouais), à Ottawa, pour mettre fin à l'inaction et à l'inertie caractérisant les relations entre l'État du Canada et les Premières nations établies sur les terres de la Couronne canado-britannique. Elle exige une rencontre avec le Premier ministre Stephen Harper. Ce qu'il refuse pendant 24 jours.


Le mouvement Idle No More - Jamais PLUS l'INACTION, désigne le mouvement de contestation des Premières nations, Métis et Inuits du Canada déployé en réaction à l'adoption par le gouvernement Harper d'une loi omnibus, Loi C-45, sanctionnée par le parlement canadien, qui entraîne, selon les manifestants, la violation des traités ancestraux.

La grève étudiante québécoise de 2012 désigne l'ensemble des événements, mouvement sociaux et perturbations induits par une grève étudiante générale et illimitée dans certains établissements d'enseignement supérieur québécois du 13 février au 7 septembre 2012. Cette grève étudiante, la plus longue de l'histoire du Québec, est principalement en réponse à l'augmentation projetée des droits de scolarité universitaires pour la période 2012 à 2017 dans le budget provincial 2012-2013 du gouvernement du Parti libéral de Jean Charest. L'élection du gouvernement péquiste de Pauline Marois le 4 septembre 2012 et l'annulation par décret de la hausse des frais de scolarité entraine de facto la cessation du conflit.

La grave crise du logement qui secoue la communauté autochtone d'Attawapiskat, au point de nécessiter l'assistance de la Croix-Rouge, suscite l'indignation de l'opposition à Ottawa.
La communauté de près de 2000 habitants située sur la côte ouest de la baie James vit une grave pénurie de logements qui force des dizaines de personnes à dormir dans des tentes, des cabanes en bois non isolées et des roulottes de chantier abandonnées, sans eau potable ni électricité. Le conseil de bande a déclaré l'état d'urgence, et le Nouveau Parti démocratique décrie la situation depuis des semaines.

400e anniversaire de Québec

Nation-hôte

La nation amérindienne huronne-wendat basée à Wendake, un territoire huron enclavé dans la ville de Québec, a été considérée comme la nation-hôtesse des fêtes du 400e anniversaire de Québec17. Le chef Max Gros-Louis a participé à différents spectacles dont le Coup d'envoi du 31 décembre 200718. Les Wendat ont célébré l'ouverture de l'Hôtel-Musée de Wendake pour le 400e anniversaire de Québec, le 7 mars 2008. En raison du 400e, l'Assemblée des Premières Nations du Canada s'est tenue à Wendake en 2008. Diverses présentations et conférences sur la culture autochtone ont eu lieu à l'Espace 400e. Enfin, un spectacle à grand déploiement basé sur la culture Wendat, Kiugwe a été présenté à Wendake pour la première fois tout au long de l'été 2008.


Les centaines de milliers de Métis canadiens sont bien des « Indiens » au sens de la Constitution, mais pas d'office les Indiens non inscrits, a tranché la Cour d'appel fédérale.
Depuis 1999, le Congrès des peuples autochtones et d'autres plaignants plaident devant la Cour que les Métis et les Indiens sans statut sont exposés à de la discrimination, car traités comme des Non-Autochtones, ils n'ont pas droit à des réserves, à un avantage fiscal, à des terres ancestrales, ou à des programmes sociaux automatiquement financés par le fédéral. Dans une décision unanime, les trois juges de la Cour d'appel reconnaissent que les Métis sont un peuple autochtone distinct, que la Loi constitutionnelle de 1867 désigne aussi dans son paragraphe 91(24), quand elle stipule que le gouvernement fédéral a compétence sur « les Indiens et les terres réservées pour les Indiens. »

Les magistrats estiment aussi que déclarer « Indiens au sens de la loi » les Autochtones inadmissibles à ce statut serait « redondant et dépourvu d'utilité pratique ». S'ils ne sont pas inscrits au Registre des Indiens, c'est parce que les raisons sont « complexes, variées et souvent indépendantes les unes des autres ». Il faut donc analyser les motifs d'exclusion au cas par cas, estime le tribunal.

Quant à la question de savoir si le gouvernement a une obligation fiduciaire envers les Métis et les Indiens non-inscrits, qui leur conférerait les mêmes droits à certains services qu'aux autres Autochtones, les juges rappellent plutôt qu'Ottawa a une « relation fiduciaire ». Celle-ci, note la cour, engage l'honneur du gouvernement, comme l'a statué la Cour suprême du Canada en mars 2013, dans une autre cause.






Les barricades érigées sur la route 138 par des membres de la communauté innue de Uashat-Maliotenam, à cinq kilomètres à l’ouest de Sept-Îles, sur la Côte-Nord, ont été démantelées, mardi.
L’intervention de la Sûreté du Québec (SQ) a débuté vers 11 heures et la vingtaine de manifestants qui se trouvaient sur les lieux ont collaboré, a expliqué une porte-parole de la SQ, Nathalie Girard. Les autorités ne rapportaient aucune arrestation.
Dans la nuit de dimanche à lundi, une dizaine d’Innus s’étaient installés devant des barricades composées d’épinettes et de débris.
Les manifestants réclamaient une écoute de la part du gouvernement Marois, mais leurs revendications ne sont pas clairement exprimées.


Selon certains, ils dénonçaient le Plan Nord instauré par le gouvernement précédent et craignaient pour l’avenir de leurs enfants devant l’exploitation des ressources naturelles et les bouleversements sociaux que le développement économique entraîne.

Le Conseil des Innus de Uashat-Maliotenam s’est dissocié de ce mouvement de contestation.
Il ne se dit toutefois pas surpris de ce débordement de colère de la part de sa communauté relativement aux relations entre les gouvernements du Québec et du Canada avec les Autochtones.

La route 138 est l’unique lien terrestre qui relie les municipalités de la Côte-Nord, le long du littoral.



Depuis quelque temps les relations entre Mohawks et Québécois blancs sont tendues à Oka. Des conflits s'éternisent au sujet du zonage et de la construction. La ville veut faire respecter ses règlements sur tous les terrains à Oka mais les Mohawks n'acceptent pas sa juridiction. Un projet s'organise pour construire un centre de désintoxication pour autochtones et un groupe de citoyens s'y opposant se mobilisent. Plusieurs interventions policières d'envergure ont aussi lieu dans les communautés mohawks dans l'année avant la crise. La tension monte lorsque le maire de la ville d'Oka, Jean Ouellette, décide d'accorder un permis à un promoteur québécois afin d'agrandir un terrain de golf et de réaliser un projet domiciliaire1. Auparavant, le gouvernement canadien, tuteur des Amérindiens, avait empêché les Mohawks de conclure une entente pour acheter ce terrain.


Un peu d'humour autochtone !